Qui dit fin mai, l'arrivée des premières chaleurs et les révisions du bac dit forcément Roland-Garros. Cette période rime souvent avec bonheur à part pour les lycéens qui doivent mettre le dernier coup de collier. Ainsi, Beside Sport a eu la chance de goûter aux premiers échanges de raquette dans des conditions optimales !
Une journée à Roland
Dimanche 28 et lundi 29, l’équipe de Beside Sport a donc eu la chance de pouvoir se rendre à Roland-Garros grâce à l’équipementier français Lacoste. Ainsi, le point de rendez-vous était donné dans le tout nouveau « Village » du Grand-Chelem parisien. Celui-ci est très agréable avec de nombreux endroits où se poser, faire des photos sur le photocall et assister aux rencontres des courts 7 et 8 derrière une gigantesque vitre. Après avoir découvert le lieu, il était temps de se rendre à l’espace Lacoste, l’un des mieux placés du Village, pour se restaurer. Là encore, aucune fausse note avec un repas léger et de bon goût. On a même l’occasion de se divertir avec le magicien/mentaliste Larsène qui est tout simplement bluffant. Vient alors le temps de quitter la table et d’aller faire ce pourquoi nous sommes venus, à savoir regarder jouer les plus grands tennismen et tenniswomen du monde.
La première machine à lancer les balles
Mais avant de pénétrer sur le court Philippe Chatrier, petit passage par un nouveau stand signé Lacoste, à savoir un lieu hommage à René Lacoste. Dans celui-ci on retrouve notamment la première machine à lancer les balles, créée en 1927 par Lacoste lui-même, qui était également un inventeur. Cette machine lançait les balles selon la trajectoire du tennisman américain, Bill Tilden, rival de René Lacoste. Mais ce n’est pas tout, Lacoste a décidé de rééditer à la mode 2018 les polos Lacoste phares des années 70, des années 80, etc. Nous concernant, le polo vert avec les lignes blanches et noires est un « must have » à porter sur les courts en 2018 !
Et enfin comment ne pas évoquer l’animation « VR » ou « Réalité Virtuelle » qui nous permet de naviguer dans un musée Lacoste et de pouvoir vivre des expériences très sympas lorsque l’on touche certains objets. Une raquette et hop on joue dans les années 50, dans la peau de René Lacoste, un trophée et l’on revit les meilleurs moments d’un tournoi…C’est extrêmement bien fait et on allie plaisir, interactivité et culture.
Lucas Pouille n'aura pas eu à forcer son talent
Après avoir fait un tour dans les allées, il est temps de rejoindre le court central, l’escalier 18 et la loge 78. Extrêmement bien placé, on assiste à la qualification douloureuse pour le second tour d’Alizée Cornet. Puis tout le stade n’a d’yeux que pour un seul homme, le numéro 1 français, Lucas Pouille. Au terme d’un match maîtrisé de bout en bout, le « Chti » se qualifie en 3 sets secs devant nos yeux. Après un passage rapide sur les courts annexes et une pause fraîcheur et ravitaillement au village, nous retournons sur le Central, légèrement déserté pour voir la tenante du titre, Yelena Ostapenko, disparaître du tournoi dès son entrée en lice.
19h, il est temps de quitter Roland-Garros et son précieux village. La journée fut plus qu’agréable et en tant qu’invité poli, il ne nous reste plus qu’à remercier Lacoste !
